I really missed you (miabella)

Longue journée ! C'était une de ses journées où les cours c'étaient vraiment épuisant. Tu n'avais qu'une hate c'est de te plonger dans un bon bain, en écoutant de la musique et discutant tranquillement avec Miabella. Rien que de penser à cette perspective de soirée, tu souris. Limite, tu accéléras pour rentrer dans ta résidence mais une vérité te frappa. Cela faisait un moment que Mia n'était plus vraiment ta coloc. Elle avait quelque soucis qui faisait qu'elle était plus souvent chez son cousin que dans la chambre que vous partagez depuis le début. Et encore si ce n'était que ça, tout irait bien. Mais depuis que vous ... tu secouas la tête. Mais non, ni elle ni toi vous ne vous évitez. Vous êtes simplement sacrément occupé. Aucune de vous deux ne redoutez cette fameuse conversation. Si elle avait annulé la dernière fois le déjeuné c'est parce qu'elle avait un rendez-vous. Et si tu avais annulé la soirée révision, c'est parce que tu avais une réunion du conseil des étudiants. N'empêche que ses derniers temps, vous vous voyez presque plus. Elle te manquait. Beaucoup même. Cela faisait des années que tu partageais tout avec elle. Cela faisait quand même bizarre qu'elle soit moins présente. Ca n'était jamais arrivé. Même quand ta mère est morte, elle était là. Tout en cogitant à ce sujet, tu ne te rendis pas compte que tu arrivas devant ta chambre. La fatigue retomba d'un coup, et tu ne pensais plus qu'à ton bain ! Tu ouvris la porte, et quel ne fut pas ta surprise de voir la belle rouquine assise devant son ordinateur sur son bureau. « Eh Mia ... je savais pas que tu serais là ! » En même temps, elle avait tous les droits d'être là puis qu'elle était autant chez elle que toi.« Tu travailles ? ... peut-être que je devrais te ... » Tu te coupas. Tu ne voulais pas l'éviter. Respirant un bon coup, tu repris la parole. « Bref, comment ça va depuis ? Quoi de nouveau ? » dis-tu en balançant ton sac au pied de ton lit et t'installant sur ce dernier comme si de rien n'était. Après tout c'était Mia, rien n'avait changé et rien ne changerait jamais.